mardi 29 décembre 2009

Journée internationale des droits des consommateurs


Comme dans toutes les activités, l'homme comme consommateur a des droits. Cependant, la plupart des genes ne les connaissent pas. Pour consciencier la population, la journée internationale des droits du consommateur a lieu le 15 mars.

Depuis 1983, l'association internationale des consommateurs "Consumerinternational" célèbre la journée mondiale des droits desconsommateurs le 15 mars. Dans un discours devant le Congrès américain, le 15 mars 1962, le président américain J.F. Kennedy avait énoncé les quatre droits fondamentaux du consommateur : droit à la sécurité, droit à l'information, droit de choisir et droit d'être entendu. [1]

En 2009, Consumers international a appelé à participer à la campagne "Génération malbouffe". Par cette campagne, les consommateurs s'adressent à l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), aux autorités publiques et aux entreprises agroalimentaires.Ils leur demandent d'établir et de respecter un code international relatif à la commercialisation des produits alimentaires auprès des enfants. [2]

Dans sa recommandation, la Commission demande de prévoir un droit de révocation en cas de démarchage par téléphone, comme pour le démarchage à domicile. Le droit de révocation doit permettre au consommateur qui a été sollicité à l'initiative du démarcheur de revenir, dans un délai de sept jours, sur le contrat qu'il a conclu. Un tel droit de révocation existe déjà en matière de démarchage à domicile, mais non en matière de démarchage par téléphone. Tout en assimilant le démarchage par téléphone au démarchage à domicile il convient de prévoir les adaptations suivantes : le délai des sept jours doit commencer à courir dès la réception de la confirmation écrite du contrat ; le droit de révocation doit valoir peu importe le montant de l'engagement pris et même pour les contrats d'assurance. [3]

Tous ces droits nous permettent une meilleure et plus facile consommation. Grâce à ce développement des droits la consommation augmente, cependant tout n'est pas positif. Avec l'augmentation de la consommation, la pollution et les inégalités augmentent également.


BIBLIOGRAPHIE:

[1] Nom du site: Journée mondiale
Titre du document: 15 mars : Journée Internationale des droits des consommateurs
[Consulté le 10/01/10 ]
Disponible:
http://www.journee-mondiale.com/51/15_mars-internationale_droits_consommateurs.htm

[2] Nom du site: Association nationale des consommateurs et usagers
Titre du document: 15 mars-Journée mondiale des droits du consommateurs
[Consulté le 11/01/10]
Disponible: http://clcv34.over-blog.com/article-28789677.html


[3] Nom du site: Konsum
Titre du document: Journée mondiale des droits du consommateurs
[Consulté le 12/01/10 ]
Disponible: http://www.konsum.admin.ch/dokumentation/00143/00400/00401/index.html?lang=fr


lundi 14 décembre 2009

Journée Internationale de la solidarité humaine

La Journée Internationale de la solidarité humaine a lieu chaque 20 décembre. Elle a été crée pour aider l’ONU dans la lutte contre la pauvreté.

La solidarité est un sentiment de responsabilité et de dépendance réciproque qui pousse les Hommes à s'aider mutuellement : " un pour tous, tous pour un ". Ainsi les problèmes rencontrés par l'un ou plusieurs des membres d'une Communauté concernent l'ensemble du groupe. La solidarité conduit l'homme à se comporter comme s'il était directement confronté au problème des autres, sans quoi, c'est l'avenir du groupe (donc le sien) qui pourrait être compromis. [1]

Cette Journée, proclamée par l’Assemblée générale en 2005, a pour but de souligner l’importance de la solidarité pour faire progresser l’ordre du jour des Nations Unies en matière de développement, en particulier, la lutte contre la pauvreté. La Déclaration du Millénaire, adoptée par les chefs d’État et de gouvernement en 2000, définit d’ailleurs la solidarité comme l’une des valeurs fondamentales essentielles aux relations internationales du XXIe siècle. [2]

L’idée de solidarité humaine à l’échelle mondiale peut changer le monde, a déclaré Lech Walesa, cofondateur du mouvement ouvrier Solidarnosc et lauréat du prix Nobel de la paix en 1983. L’ancien Président de la république polonaise inaugurait alors la cérémonie de lancement de la première Journée internationale de la solidarité humaine, qui sera célébrée chaque année le 20 décembre. [3]

À l’aide de ce mouvement on attend que tout le monde fasse des petits gestes modestes pour améliorer la solidarité dans le monde. La solidarité peut transformer le monde.


BIBLIOGRAPHIE:

[1] Nom du site : L’atelier des médias
Titre du document : 20 Décembre 2009 : Journée Internationale de la Solidarité Humaine
[Consulté le 10/12/09]
Disponible :
http://atelier.rfi.fr/profiles/blogs/20-decembre-2009-journee

[2] Nom du site : buddhachannel
Titre du document : 20 Décembre : Journée Internationale de la solidarité Humaine
[Consulté le 10/12/09]
Disponible :
http://www.buddhachannel.tv/portail/spip.php?article153

[3] Nom du site : Journée Mondiale
Titre du document : 20 décembre : Journée Internationale de La Solidarité Humaine
[Consulté le 10/12/09]
Disponible :
http://www.journee-mondiale.com/93/20_decembre-internationale_solidarite_humaine.htm

Solidarité

La solidarité consiste principalement en une série d'actions pour aider les moins favorisés (ou ceux qui l'auraient besoin).

La solidarité intra-générationnelle implique de se soucier des hommes que nous croisons aujourd’hui, mais pas uniquement de notre famille ou de nos voisins.
Cette solidarité s’exprime à différentes échelles de territoire, du local au mondial : quartiers, communes, régions, campagnes et villes, les rapports entre les pays du Nord et du Sud, de l'Est et de l'Ouest… Il s’agit de permettre l’accès à des conditions de vie décentes pour tous, à un niveau équitable de qualité de vie. Être solidaire avec les générations futures, c’est inscrire les actions et les décisions dans une perspective de long terme. Les conséquences et impacts des décisions d'aujourd'hui ne doivent pas nuire à l’avenir et être irréversibles : pour ce faire, il s'agit d'appliquer le principe de précaution. [1]

Les aides humanitaires et économiques deviennent de plus en plus nombreuses: les pays riches envoient des millions de dollars aux pays pauvres. Mais peut être ces aides ne sont pas du tout la solution pour arrêter la pauvreté.
Dambisa Moyo, auteur de "L'aide fatale", d'origine zambienne, diplômée de Harvard et d'Oxford a déclaré que “Au cours des cinquante dernières années, les pays riches ont déversé 1.000 milliards de dollars d'aide à l'Afrique. Pour quel résultat ? La croissance est moins forte et la pauvreté n'a cessé de grimper. Aujourd'hui, plus des deux tiers des Africains vivent avec moins d'un dollar par jour. L'aide des grands bailleurs de fonds, qu'il s'agisse de la Banque mondiale, des agences de développement ou encore de l'aide bilatérale, nourrit la corruption, alimente l'inflation, mine les services publics.” [2]


Les pauvretés (économiques mais aussi sociales, culturelles…) s’accroissent de par le monde. Plus d’un milliard de personnes ne mangent pas à leur faim. Un milliard d’habitants de la planète vivent dans des bidonvilles. Dans le même temps, les richesses ont été multipliées par 8 au cours des 40 dernières années. Le chiffre d’affaires combiné des 200 sociétés transnationales les plus importantes représente plus que les économies cumulées de 180 pays du globe. Les inégalités n’ont jamais été aussi grandes entre pays, et à l’intérieur de chaque pays, y compris dans les états du Nord.- La mondialisation accroît l’interdépendance entre les hommes, les états, les économies. Les choix politiques et économiques ont des conséquences sociales et environnementales à l’échelle locale comme à l’échelle mondiale. [3]

Définitivement, on devrait tous mettre de notre part pour réussir à avoir un monde vraiment solidaire et pouvoir ainsi réparer tous les dommages qui ont étés causés (inégalités). Ici, tout le monde est concerné.


BIBLIOGRAPHIE:

[1] Nom du site: Vedura
Titre du document: Principe de solidarité et développement durable
[Consulté le 02/12/09]

[2] Nom du site: La Tribune
Titre du document: Dambisa Moyo “l’aide publique donnée à l’Afrique constitue une rente”,
[Consulté le 01/12/09]
Disponible:
http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20090917trib000423177/dambisa-moyo-l-aide-publique-donnee-a-l-afrique-constitue-une-rente.html

[3] Nom du site: Le monde bouge, et vous?
Titre du document: Qu'est-ce-que la solidarité internationale?
[Consulté le 04/12/09]
Disponible:
http://www.lasemaine.org/osons/quest-ce-que-la-solidarite-internationale-pour-la-semaine