Journée mondiale sans voiture

La journée mondiale sans voitures, qui a lieu le 22 septembre, a pour objectif de favoriser la prise de conscience collective de la nécessité d'agir contre les nuisances générées par la croissance du trafic motorisé en milieu urbain. [1]

Il ne s'agit pas seulement d'améliorer la qualité de vie en ville ou lutter contre le bruit mais aussi de lutter contre la pollution atmosphérique et les changements climatiques, qui sont dus en très grand part, à cause du CO2 émis ou bien par les usines ou bien par les voitures…

Le 22 septembre 2003, Montréal a en effet enregistré une baisse immédiate de la pollution, avec 40 % de moins de monoxyde de carbone (CO) et de monoxyde d'azote (NO) par rapport aux lundis habituels, dans le périmètre fermé à la circulation.

[2]

Cependant, nos sociétés modernes sont envahies par les voitures, et cela malgré les nombreuses alertes sur les nuisances que les voitures occasionnent. Conférence après conférence, il est dit combien il est urgent et nécessaire de remédier à ce problème et de privilégier les solutions alternatives, mais le constat est là : la journée mondiale sans voiture s'essouffle et, au fil des éditions, est de moins en moins suivie.

En France, 72 villes prenaient part à l'opération en 2008 contre 98 l'année précédente. [3]

BIBLIOGRAPHIE :

[1] Nom du site: Journée mondiale
Titre du document : 22 septembre : journée mondiale sans voiture.
[Consulté le 22/10/09]
Disponible : http://www.journee-mondiale.com/118/22_septembre-sans_voiture.htm

[2] Nom du site: La pause lecture
Titre du document: Journée sans voitures
[Consulté le 22/10/09]
Disponible : http://www.pause.pquebec.com/sujet/journee-internationale-sans-voitures.htm

[3] Nom du site: Solidaires du monde
Titre du document: 22 septembre : La journée mondiale sans voiture
[Consulté le 23/10/09]
Disponible : http://blognotes.solidairesdumonde.org/archive/2009/09/14/22-septembre-la-journee-mondiale-sans-voiture.html

Changements Climatiques

Le changement climatique anthropique est l'évolution du climat venant s'ajouter à ses variations naturelles, qui est attribuée aux émissions de gaz à effet de serre engendrées par les activités humaines, et altérant la composition de l'atmosphère de la planète. [1]

Prenant acte de la réalité du réchauffement climatique dans la décennie 90, et de la responsabilité humaine dans ces dérèglements, les dirigeants politiques ont initié une politique de lutte contre le réchauffement de la planète. Le protocole de Kyoto, qui est entré en vigueur en février 2005, est l'exemple le plus actuel d'une stratégie de réduction des gaz à effet de serre. Cette politique n'est toutefois pas sans diviser les pays industrialisés, peu enclins à remettre en cause leur modèle de croissance, et les pays du Sud inquiets pour leurs projets de développement. [2]

Interpellé par la nette tendance à la hausse du nombre de catastrophes naturelles liées au climat et la vulnérabilité des populations aux prises avec ces catastrophes, Oxfam a réalisé une nouvelle étude dans laquelle l’organisation prévoit que d'ici 2015 le nombre de personnes touchées chaque année par les crises climatiques pourrait augmenter de 50 % pour atteindre en moyenne 375 millions.

Et ce nombre continuera vraisemblablement de grimper tandis que l'accélération des changements climatiques entraîne une augmentation de la fréquence et de la gravité des catastrophes liées au climat, et que la pauvreté et les inégalités forcent de plus en plus de personnes à vivre dans des lieux à haut risque, comme des plaines inondables, des flancs de montagne abrupts et des bidonvilles, les laissant complètement démunies face à ces catastrophes. [3]


BIBLIOGRAPHIE :

[1] Nom du site : Wikipedia
Titre du document : Changements Climatiques
[Consulté le 20/10/09]
Disponible : http://fr.wikipedia.org/wiki/Changement_climatique

[2] Nom du site : La documentation Française
Titre du document : Le changement climatique
[Consulté le 20/10/09]
Disponible : http://www.ladocumentationfrancaise.fr/dossiers/changement-climatique/index.shtml

[3] Nom du site : Oxfam International
Titre du document : L'adaptation aux changements climatiques: Oxfam travaille avec les communautés affectées
[Consulté le 20/10/09]
Disponible : http://www.oxfam.org/es/node/3674

Surconsommation

La surconsommation recouvre plusieurs aspects, dont le principal est la consommation actuelle des pays riches et dits développés, qui mènerait, à terme, à un épuisement de nombreuses ressources naturelles mondiales (énergie, biomasse, diversité génétique, matières premières, mais aussi eau potable et nappes phréatiques. Ce type de consommation (et de développement) ne pourrait donc pas, à brève échéance, être généralisé à toute la population de la planète [1], ce qui devient bien sûr un grave problème.

Dans les années 1920, les messages publicitaires occupent de plus en plus l'univers quotidien de sociétés industrialisées et se transforment, aprés la seconde guerre mondiale au point de de développer une société de consommation. Aujourd'hui, le problème n'est plus de fabriquer, mais de vendre. La publicité a donc perdu la mission informative qu'elle prétendait avoir à ses origines au profit d'une fonction d'incitation et de manipulation. et on lui reproche aujourd'hui d'uniformiser les comportements sociaux, de favoriser la surconsommation et de générer la violence chez ceux qui sont exclus de tous les biens dont elle guide l'achat. Face à cette publicité qui nous attaque des centaines ou milliers de fois par jour, plusieurs mouvements Anti-pub se sont crées en Amérique et en Europe.
Ces associations s'attaquent àl'affichage qui dégrade le paysage et le cadre de vie, à l'apologie du gaspillage et aux pratiques commerciales abusives, à l'introduction de la publicité dans le système d'éducation. Leur rôle essentiel est de sensibiliser le public, et particulièrement les jeunes qui doivent acquérir un esprit critique nécessaire à leur futur rôle de citoyen. [2]

80% de l’alimentation animale proviennent de cultures qui conviendraient également à la consommation humaine : maïs, soja. A l’ère de l’élevage industriel, nos bêtes accaparent à elles toutes seules 60% de la production mondiale de céréales, soit 670 millions de tonnes ! Un volume qui suffirait amplement à nourrir les 850 millions d’êtres humains souffrant de malnutrition. On estime qu’un végétarien consomme en moyenne 180 kilos de grains par ans alors qu’un consommateur de viande en gaspille 930 kilos par ans. Au total, l’élevage et la production des aliments pour le bétail squattent 78% des terres agricoles mondiales, soit 30% de toute la surface du globe… [3]

BIBLIOGRAPHIE:

[1] Nom du site: Wikipedia

Titre de l'article: Surconsommation

Consulté le [15/10/09]

Disponible: http://fr.wikipedia.org/wiki/Surconsommation

[2] Nom du site: Collège Français de Bilbao

Titre de l'article: Surconsommation

Consulté le [15/10/09]

Disponible: http://educ.dev.durable.free.fr/consomdechets.htm

[3] Nom du site: Espace Canoe

Titre du document: La consommation de viande

Consulté le [15/10/09]

Disponible: http://espace.canoe.ca/group/ecologique/blog/view/256652

Malnutrition et sous-nutrition

Deux milliards de personnes souffrent de malnutrition, et 18 millions meurent chaque année de faim. Pourtant, la quantité de nourriture est largement suffisante pour toute la population dans le monde. Si toutes les céréales récoltées chaque année étaient réparties équitablement entre les hommes, chacun en recevrait plus qu'il n'en faut pour survivre. Or, dans beaucoup de pays d'Afrique, surtout parmi les enfants, l'apport calorique moyen par personne est nettement inférieur à celui qu'il faut pour être en bonne santé. [1]

La malnutrition est un problème de santé majeur, notamment dans les pays en développement. L'approvisionnement en eau, l'assainissement et l'hygiène, étant donné l'impact direct qu'ils ont sur les maladies infectieuses, notamment la diarrhée, sont importants pour prévenir la malnutrition. La malnutrition tout comme l'approvisionnement en eau et l'assainissement insuffisants est liée à la pauvreté. L'impact de la diarrhée persistante ou à répétition sur la malnutrition associée à la pauvreté et l'effet de la malnutrition sur la sensibilité à la diarrhée infectieuse sont des éléments qui renforcent le même cercle vicieux, notamment chez les enfants dans les pays en développement. [2]

La malnutrition, qui s'explique par des causes multiples, contribue à plus de la moitié des décès d'enfants de moins de 5 ans qui interviennent chaque année.Dans les pays en développement, près d'un tiers des enfants de moins de 5 ans souffrent d'insuffisance pondérale (manque de poids) modérée ou grave (soit 183 millions d'enfants). [3]

La sous-nutrition est un manque de nourriture. On peut l'appeler sous-nutrition lorsque les apports nutritifs ne suffisent pas à combler les dépenses énergétiques. Concrètement, la sous-nutrition est l'état pathologique d'une personne qui est insuffisamment nourrie, qui consomme des quantités insuffisantes d'aliments nécessaires pour satisfaire ses besoins en énergie ou en éléments nutritifs. Ce manque engendre des carences en micronutriments, plus ou moins graves selon les différentes carences. Nous en parlerons plus en détails par la suite. Nous avons étudié ce sujet en trois grands thèmes : les causes, les conséquences que cela a sur la santé, et les solutions qui peuvent être apportées afin de lutter contre ce problème. [4]


BIBLIOGRAPHIE:

[1] Nom du site : La malnutrition dans le monde
Titre du document : La malnutrition dans le monde
[Consulté le 15/10/09]
Disponible : http://www2c.ac-lille.fr/pneruda-wattrelos/idd0405bis/planetesoli/problemes/malnutrition.htm

[2] Nom du site: World Water day 2001
Titre du document: Malnutrition
[Consulté le 18/10/09]
Disponible : http://www.worldwaterday.org/wwday/2001/lgfr/disease/malnutrition.html

[3] Nom su site : Les droits des enfants
Titre du document : La santé, la malnutrition
[Consulté le 16/10/09]
Disponible : http://www.droitsenfant.com/sante.htm

[4] Nom du site : Malnutrition
Titre du document : La sous-nutrition
[Consulté le 15/10/09]
Disponible : http://malnutrition.tpe.free.fr/sous_nutrition.php

Qu'est-ce que le développement durable?

Le développement durable a été défini comme “le développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs” par le rapport Brundtland (du nom du Premier ministre de Norvège), publié en 1987. Le processus vise à concilier l’écologique, l’économique et le social, en établissant une sorte de cercle “vertueux” entre ces trois piliers. [1]

Les modes de production et de consommation doivent respecter l’environnement humain ou naturel et permettre à tous les habitants de la Terre de satisfaire leurs besoins fondamentaux : se nourrir, se loger, se vêtir, s’instruire, travailler, vivre dans un environnement sain… [2]

Dans une optique développement durable, il s’agit de prendre des mesures pour :diminuer le poids et le volume des déchets à la sourcedévelopper le traitement, le recyclage et la valorisation des déchetsmaîtriser les impacts environnementaux et sanitairesaméliorer la gestion et le traitement des déchets dangereuxobtenir des mesures satisfaisantes pour la gestion des déchets nucléaires. [3]

La production française de déchets est estimée à 849 millions de tonnes, pour l'année 2004, par l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME). La plus grande partie de la communication au sujet des déchets semble focalisée sur la part des déchets ménagers bien qu’ils ne représentent pas plus de 4% du total. Les entreprises suivent derrière avec 11%, mais la plus grande responsabilité revient aux industries agricoles et du BTP, représentant respectivement 43% et 40%. Il faut noter cependant que les déchets de l’agriculture sont pratiquement tous des déchets organiques, même si une trop grande concentration de l’activité agricole peut entrainer des pollutions dues aux lisiers et fumiers. [4]

BIBLIOGRAPHIE:

[1] Nom du site: La documentation française

Titre du document : Qu’est-ce que le développement durable ?

[Consulté le 16/09/2009]

Disponible: http://www.ladocumentationfrancaise.fr/dossiers/developpement-durable/developpement-durable.shtml

[2] Nom du site: Ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement durable et de la mer

Titre du document: Développement durable

[Consulté le 16/09/2009]

Disponible: http://www.ecologie.gouv.fr/-Developpement-durable-.html

[3] Nom du site: Vedura

Titre du document: Déchets et développement durable

[Consulté le 16/09/2009]

Disponible: http://www.vedura.fr/environnement/dechets

[4] Nom du site: Nonfiction

Titre du document: Le développement durable et les déchets

[Consulté le 16/09/2009]

Disponible: http://www.nonfiction.fr/article-1625-le_developpement_durable_et_les_dechets.htm